Vinyle Alain Bashung – Live ’81
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Vinyle Alain Bashung – Live ’81 – Pochette Gatefold, LP Album 13 titres
En 1981, Pizza, le troisième album d’Alain Bashung, le propulse dans le peloton de tête du rock français. . Alliés aux textes du complice Boris Bergman, ses nouveaux titres sont transfigurés par une formation qui fera date dans la carrière de Bashung. Réunis sous l’acronyme KGDD, Manfred Kovacic (claviers, saxophone), Olivier Guindon (guitare), François Delage (basse) et Philippe Draï (batterie) entraînent la production de Bashung vers des horizons inexplorés. Grâce à ces intrépides sidemen, son répertoire acquiert également une dimension inédite sur scène.
Retrouvez les vinyles de Alain Bashung dans la catégorie – Pop / Rock / Indé
Poids | 0,750 kg |
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3 en stock
Tracklist
Vinyle Alain Bashung - Live '81
A1 J'sors Avec Ma Frangine 2:35
A2 Guru, Tu Es Mon Führer De Vivre 2:25
A3 Pas Question Que J'perde Le Feeling 3:26
A4 C'est La Faute À Dylan 3:10
A5 Elle S'fait Rougir Toute Seule 2:53
B1 Squeezé 4:38
B2 Je Fume Pour Oublier Que Tu Bois 6:55
B3 Rebel 5:26
C1 Toujours Sur La Ligne Blanche 5:24
C2 Gaby Oh Gaby 5:10
C3 L'araignée 2:53
D1 Milliards De Nuits Dans Le Frigo 2:56
D2 Elsass Blues 2:49
Code-barres de l’album
Extrait Wikipédia pour l’artiste :
Alain Claude Baschung est né d’une mère bretonne, Geneviève Hascoët, ouvrière dans l’usine Renault de Boulogne-Billancourt, et d’un père kabyle, qu’il n’a jamais connu. Sa mère n’a jamais évoqué cette liaison passagère. Elle se maria peu après cette naissance avec Roger Baschung, un boulanger alsacien. On lui donne le nom de son beau-père, et il est envoyé, à un an, chez les parents de celui-ci, près de Strasbourg, à Wingersheim, pour de meilleures conditions matérielles. Alain Bashung passe ainsi son enfance à la campagne dans un milieu modeste et conservateur, avec Oma (Elisabeth Battenstein, née à Düsseldorf, le ), qui ne parle pas le français. Son beau-père Roger lui offre pour ses cinq ans un harmonica Rosebud qui sera son jouet préféré. L’enfant s’évade de l’ennui solitaire avec la radio. Ses premiers émois musicaux sont les valses de Strauss, Wagner ou Kurt Weill… Enfant de chœur à Wingersheim, il pratique aussi le basket-ball et le cyclisme sur piste. Puis les radios des bases américaines installées en Allemagne passent du rock’n’roll : « J’avais l’impression que chaque morceau m’était adressé personnellement, pour la première fois je me suis senti heureux ».
Il revient vivre chez ses parents à Boulogne-Billancourt en 1959. Pour son certificat d’études, on lui offre une guitare Lucky 7. Sa « marraine » Andrée, responsable du personnel et des œuvres sociales chez Renault, l’emmène à des concerts ; il découvre l Édith Piaf, le rock américain de Gene Vincent. Il entend à la radio Buddy Holly, qui deviendra un modèle, et Elvis Presley.
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