Vinyle Alain Bashung – Fantaisie Militaire
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Vinyle Alain Bashung – Fantaisie Militaire – Réédition, LP Album 12 titres
Pour ce quatrième album co-écrit avec Jean Fauque, parolier succédant depuis “Novice” à Boris Bergman, le chanteur s’est inspiré d’une indication trouvée sur une partition de marche militaire. Une fantaisie ? Pas franchement : les douze chansons, dans un long voyage de nuit, ouvrent des plaies, scrutent le sommeil de belles au bois hibernant, dessinent à coups d’expressions à double sens les contours d’une conscience en phase de reconstruction après rupture affective. Rythmé par la guitare d’Edith Fambuena (Valentins), “La nuit je mens” reste un classique tout comme “sommes-nous” ou encore “Samuel Hall” (ce dernier co-écrit par Rodolphe Burger de Kat Onoma).
Retrouvez les vinyles de Alain Bashung dans la catégorie – Pop / Rock / Indé
Poids | 0,500 kg |
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Tracklist
Vinyle Alain Bashung - Fantaisie Militaire
A1 Malaxe 4:31
A2 La Nuit Je Mens 4:25
A3 Fantaisie Militaire 4:49
A4 2043 3:44
A5 Mes Prisons 4:07
A6 Ode A La Vie 4:16
B1 Dehors 3:29
B2 Samuel Hall 5:05
B3 Aucun Express 4:06
B4 Au Pavillion Des Lauriers 4:43
B5 Sommes-nous 3:55
B6 Angora 2:06
Code-barres de l’album
Extrait Wikipédia pour l’artiste :
Alain Claude Baschung est né d’une mère bretonne, Geneviève Hascoët, ouvrière dans l’usine Renault de Boulogne-Billancourt, et d’un père kabyle, qu’il n’a jamais connu. Sa mère n’a jamais évoqué cette liaison passagère. Elle se maria peu après cette naissance avec Roger Baschung, un boulanger alsacien. On lui donne le nom de son beau-père, et il est envoyé, à un an, chez les parents de celui-ci, près de Strasbourg, à Wingersheim, pour de meilleures conditions matérielles. Alain Bashung passe ainsi son enfance à la campagne dans un milieu modeste et conservateur, avec Oma (Elisabeth Battenstein, née à Düsseldorf, le ), qui ne parle pas le français. Son beau-père Roger lui offre pour ses cinq ans un harmonica Rosebud qui sera son jouet préféré. L’enfant s’évade de l’ennui solitaire avec la radio. Ses premiers émois musicaux sont les valses de Strauss, Wagner ou Kurt Weill… Enfant de chœur à Wingersheim, il pratique aussi le basket-ball et le cyclisme sur piste. Puis les radios des bases américaines installées en Allemagne passent du rock’n’roll : « J’avais l’impression que chaque morceau m’était adressé personnellement, pour la première fois je me suis senti heureux ».
Il revient vivre chez ses parents à Boulogne-Billancourt en 1959. Pour son certificat d’études, on lui offre une guitare Lucky 7. Sa « marraine » Andrée, responsable du personnel et des œuvres sociales chez Renault, l’emmène à des concerts ; il découvre l Édith Piaf, le rock américain de Gene Vincent. Il entend à la radio Buddy Holly, qui deviendra un modèle, et Elvis Presley.
Consultez la discographie de l’artiste ici