Vinyle The Strokes – Room On Fire
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Vinyle The Strokes – Room On Fire – Réédition, LP Album 11 titres
On aurait vraiment tort de bouder son plaisir simplement parce que ce disque aura été l’un des plus attendus de 2003. Et si vous aviez fondu pour son prédécesseur, Room Of Fire aura tout autant raison de vous. Les Strokes ont trouvé leur langage, qui ne tient pas à une de leurs composantes. Le rock urbain et élégant du groupe new-yorkais avance avec un sens du tempo total. Les lignes de la basse montent chercher les plans des guitares, et la tension suit (” 12 :51 “, ” You Talk Too Much “), tandis que les chansons se ramassent autour de l’idée essentielle. Courtes, directes, solidement électriques (” The Way It Is “), elles laissent à l’occasion le temps d’un jet de notes aux deux responsables des six cordes. Sinon, ces deux guitares, véritable double colonne vertébrale des compositions de Julian Casablancas, effectuent un travail rythmique de premier plan. On peut le comparer à juste titre à celui de Lloyd et Verlaine dans feu Television, également de New York City (” Under Control “).
Retrouvez les vinyles de The Strokes dans la catégorie – Pop / Rock / Indé
Poids | 0,500 kg |
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2 en stock
Tracklist
Vinyle The Strokes - Room On Fire
A1 What Ever Happened?
A2 Reptilia
A3 Automatic Stop
A4 12:51
A5 You Talk Way Too Much
B1 Between Love & Hate
B2 Meet Me In The Bathroonm
B3 Under Control
B4 The Way It Is
B5 The End Has No End
B6 I Can’t Win
Code-barres de l’album
Extrait Wikipédia concernant l’artiste :
C’est en 1984 que se rencontrent deux des membres du futur groupe. En effet, Julian Casablancas fait la connaissance à l’école de Nikolai Fraiture, avec qui il se lie d’amitié rapidement, et qui deviendra plus tard son bassiste. Les deux camarades n’étant alors âgés que de six ans, il faudra attendre encore quelques années avant que cette relation ne se transforme en collaboration musicale. Sept ans plus tard, en 1991, Julian Casablancas sympathise avec le batteur Fabrizio Moretti et le guitariste Nick Valensi (qui avaient joué dans le même groupe quelques mois auparavant) à la Dwight School, un lycée de l’Upper West Side de Manhattan. Mais ce n’est que l’année suivante qu’il rencontre Albert Hammond Jr au prestigieux Institut Le Rosey en Suisse, le guitariste qui complétera la formation quelques années plus tard. Le croisant alors dans Manhattan tout à fait par hasard, Casablancas invite Albert Hammond Jr à se joindre à son groupe nouvellement formé, et se charge de nommer le quintet désormais au complet ; ce sera The Strokes. Le nom « The Strokes » étant lui-même, comme leur musique, une contradiction : « a stroke » signifie à la fois une caresse et un coup. La musique des Strokes est rugueuse, avec l’usage de guitares électriques aux sons saturés comme dans le hard rock, mais aussi très mélodieuse, avec de purs sons blues.
“Consultez la discographie de l’artiste ici